Évènements

Organisés par le Cercle Saint Didier au bénéfice de l’Œuvre des Saints Anges

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A cause de la pandémie de coronavirus, les rendez-vous du 28 mars et du jeudi 23 avril sont reportés à l’année prochaine.
La date sera communiquée ultérieurement.

Le samedi 28 mars 2020 à 10h50

Musée Nissim de Camondo/ Déjeuner dans le quartier
Parcours-découverte des collections permanentes du Musée Nissim de Camondo, suivi du déjeuner dans une brasserie du quartier.

Limité à 12 personnes. Réservations avant le 24 mars 2020, accompagnées du règlement. Participation membres 100 euros, non-membres 120 euros, moins de 25 ans, avec une pièce justificative, 60 euros.

Rendez-vous à 10h50 très précises à l’entrée du Musée Nissim de Camondo, 63 rue de Monceau, Paris 8ème (Métro Villiers ou Monceau bus 30, 94, 84)

Collectionneur passionné, Moïse de Camondo a constitué un ensemble étonnant d’oeuvres du XVIIIe siècle. Sa demeure, d’une grande modernité, est l’un des rares témoignages de l’art de vivre à Paris pendant l’entre-deux-guerres. L’hôtel particulier fut construit en 1912 par l’architecte René Sergent, à la demande de Moïse de Camondo. L’édifice s’inspire du Petit Trianon de Versailles. Le jardin, comme dans nombre d’autres demeures prestigieuses de cette époque, est dessiné par le célèbre architecte-paysagiste Achille Duchêne. Moïse de Camondo y installa ses collections, qu’il ne cessa d’augmenter jusqu’à sa mort, le 14 novembre 1935. Par testament, l’hôtel et les collections qu’il renfermait furent légués à l’Union centrale des arts décoratifs pour devenir le musée Nissim-de-Camondo, en mémoire de son fils Nissim (1892-1917), lieutenant de l’escadrille MF 33 abattu en combat aérien le 5 septembre 1917. Le Camondo, le restaurant du Musée Nissim de Camondo, installé dans une ancienne remise des voitures, recueille peu d’avis favorables, une bonne brasserie de quartier est donc préférable.

Le jeudi 23 avril 2020 à 18h50

Cité de l’Architecture/Restaurant La Bauhinia
Parcours-guidé autour de la reconstruction de Notre-Dame à la Cité de l’Architecture et du Patrimoine, suivi du dîner au restaurant La Bauhinia

Limité à 12 personnes. Réservations avant le 17 avril 2020, accompagnées du règlement. Participation membres 110 euros, non-membres 130 euros, moins de 25 ans, avec une pièce justificative, 65 euros.

Rendez-vous à 18h50 très précises à l’entrée des groupes de la Cité de l’Architecture et du Patrimoine, 45 avenue du Président Wilson, Paris 16ème (Métro Trocadéro, Bus 63)

La Cité de l’Architecture et du Patrimoine située dans une aile du Palais de Chaillot présente près de 1000 années d’ornementations et de créations architecturales. Un parcours sur 8 000 m² invite à un véritable voyage parmi les trésors du patrimoine et de l’architecture française, du Moyen-âge à nos jours. Se côtoient ainsi le portail de Chartres, la coupole peinte de la cathédrale de Cahors et un appartement de la Cité radieuse de Le Corbusier. Cette année, la Cité propose un cycle exceptionnel de conférences et débats consacré à Notre-Dame. Magnifique témoin de l’art de bâtir des cathédrales dans les villes du Moyen Âge, de l’Ile de France jusqu’au nord de l’Europe, la cathédrale de Paris est aujourd’hui le signe monumental de l’histoire religieuse de la ville comme de grands évènements de l’histoire de France. Ses réaménagements, décors et restaurations se succèdent, illustrant les évolutions cultuelles et les débats architecturaux, comme ceux issus des travaux de Viollet-le-Duc au 19ème siècle. Accompagnés par un conférencier de la Cité de l’Architecture, nous aurons l’occasion de mieux connaître Notre-Dame dans son contexte patrimonial et urbain et d’aborder les questions qui entourent le projet de reconstruction des parties endommagées par l’incendie. Le Shangri-La Hôtel occupe l’ancien hôtel particulier du Prince Roland Bonaparte. Ce joyau architectural inscrit aux Monuments Historiques accueille trois restaurants, dont le Bauhinia, restaurant de cuisine française et sud-est asiatique. Son nom s’inspire de la fleur qui orne le drapeau de Hong Kong, de la famille des orchidées, avec 5 pétales. Sa verrière historique des années 30, réalisée par Maurice Gras, inspiré par Gustave Eiffel, donne une allure de jardin d’hiver au restaurant.

Le samedi 16 mai 2020 à 10h50

Musée des arts décoratifs/ Restaurant Loulou
Parcours- découverte «D’un empire à l’autre : faste et confort au 19ème siècle» suivi du déjeuner au restaurant du musée « Loulou ».

Limité à 12 personnes. Réservations avant le 12 mai 2020, accompagnées du règlement. Participation membres 110 euros, non-membres 130 euros, moins de 25 ans, avec une pièce justificative, 65 euros.

Rendez-vous à 10h50 très précises à l’entrée des groupes au Musée des arts décoratifs, 107, rue de Rivoli, Paris 1er (Métro Tuileries)

Association reconnue d’utilité publique, le Musée des arts décoratif (MAD) est une institution culturelle française qui réunit musées, lieux d’enseignement et bibliothèque autour de l’art de vivre, des arts décoratifs, du design, de la mode et du textile, de la publicité et du graphisme. Les parcours- découverte permettent de découvrir le décor et le cadre de vie de chaque époque. Notre parcours-découverte sera consacré au Premier et au Seconde Empire. Loulou, le restaurant du Musée des Arts Décoratifs, bénéficie d’un emplacement unique et d’un cadre privilégié au coeur du Palais du Louvre. À la splendeur des façades de l’aile de Rohan du Palais du Louvre, se dévoile l’une des plus somptueuses terrasses parisiennes. Les avis sont partagés sur la cuisine et le service, mais tous considèrent que le lieu en vaut la peine, surtout en terrasse. Espérons qu’il fasse beau !

Le jeudi 11 juin 2020 à 18h50

Musée Henner/Marcel Proust/Plaine Monceau
Visite guidée du musée et promenade dans le quartier de la Plaine Monceau
Suivies du dîner au restaurant Autana

Limité à 12 personnes. Réservations avant le 5 juin 2020, accompagnées du règlement. Participation membres 100 euros, non-membres 120 euros, moins de 25 ans, avec une pièce justificative, 60 euros.

Rendez-vous à 18h50 très précises à l’entrée du Musée Henner 43, avenuede Villiers Paris 17ème (Métro Malesherbes ou Villiers)

Le musée Henner est un des rares témoignages accessibles au public de l’architecture privée sous la IIIe République. Le musée présente une sélection représentative des différentes périodes de la vie de l’artiste, de sa jeunesse en Alsace à ses dernières années en passant par son séjour à la Villa Médicis.
C’est dans le nouveau quartier Monceau que se fait en la fusion entre artistes et bourgeoisie, déjà amorcée dans le quartier de la Nouvelle Athènes quelques décennies auparavant. Parmi les premiers à s’installer, on trouve Ernest Meissonnier et Édouard Detaille, alors très célèbres, qui s’établissent dès 1874 boulevard Malesherbes. En 1876 Sarah Bernhardt s’installe rue Fortuny, juste à côté de l’actuel musée, et Alexandre Dumas fils au 98 avenue de Villiers. La renommée de ces artistes en attire d’autres et très vite la Plaine Monceau devient le quartier incontournable de la scène artistique et culturelle des années 1870-1890.
Dans ce centre névralgique de la vie mondaine, on trouve non seulement des peintres mais aussi de nombreux écrivains, dont les Dumas, Edmond Rostand, Tristan Bernard et Victorien Sardou, des musiciens comme Charles Gounod, Camille Saint-Saëns, Gabriel Fauré et Debussy… Tous ces artistes se retrouvent dans les salons à la mode comme celui de madame de Saint-Marceaux, de Juliette Adam ou de la princesse Mathilde, ou encore celui de la demi-mondaine Valtesse de la Bigne, dont l’hôtel du 98 boulevard Malesherbes est un comble de luxe. Tout ce beau monde a un mode de vie particulier réglé par un calendrier mondain très serré ; car chaque maison a ses « jours » et il est de bon ton de tenir des dîners qui rassemblent les gens à la mode. La visite de l’atelier fait partie des activités mondaines les plus prisées. « C’est le vendredi qui a été adopté par la plupart des artistes pour les réceptions ; ce jour-là, l’avenue de Villiers est curieuse à voir : tout Paris y défile avant d’aller au Bois ; chacun rend visite à son peintre …On peut mesurer le rang d’un peintre d’après le nombre de voitures qui stationnent le vendredi devant son hôtel. » (Albert Wolff, La capitale de l’art, 1886).

D’après ses agendas, Jean-Jacques Henner a rencontré Sarah Bernhardt à la même époque alors qu’elle habitait 35 rue Fortuny. On sait qu’il est allé chez madame de Saint-Marceaux, qui tenait un salon très prisé au 100 boulevard Malesherbes. Il a très assidûment fréquenté le célèbre salon de Juliette Adam au 190 boulevard Malesherbes, le salon de musique de Marie Trélat, professeur de chant et cantatrice, proche de Camille Saint-Saëns. Pour évoquer le meilleur chroniqueur de salon qui soit, à savoir Marcel Proust, il est intéressant de noter que Henner a dîné plusieurs fois chez ses parents – son père était le docteur Adrien Proust –, entre 1886 et 1896, au 9 boulevard Malesherbes. Marcel, qui est né en 1871, y est resté jusqu’en 1900.

Week-end en Suisse

du vendredi 28 au dimanche 30 août 2020

Carmen sous les étoiles : Festival du Nozon*

Confortablement installés pendant trois jours à Yverdon-les Bains, au Grand Hôtel et Centre Thermal (4*) ou à la Maison Blanche (2*)  nous visiterons quelques joyaux de la région, tels que l’église de Montcherand, les mosaïques romaines d’Orbe, l’Abbatiale de Romainmôtier. Nous participerons aussi au Festival du Nozon, dans un cadre bucolique,  pour admirer une Carmen exceptionnelle par la mise en scène, les décors et la distribution. Nous serons accueillis par le metteur en scène et directeur du festival, Monsieur Jean-Félix Brouet et la production nous offrira un cocktail de bienvenue que nous partagerons avec Carine Séchaye.

Nous ne pouvions rêver mieux. Lauréate 2009 du prix lyrique de l’Œuvre des Saints Anges, elle est Carmen ! Elle ensoleille l’espace et dès qu’elle apparait, sa voix, mezzo-soprano, fait le reste.
Dans un lieu magique « Le vallon du Nozon », les spectateurs seront installés dans  des fauteuils à l’abri des intempéries. Un orchestre symphonique de 50 musiciens, 80  choristes et un chœur d’enfants. Côté décor, tout ce qui est dans Carmen : la manufacture, l’auberge, les arènes, le corps de garde. Des animaux seront également sur scène (chevaux, ânes, chèvres, oies),  mais aussi un jardin, une fontaine et une place de village.

  • TGV Lyria  en 1ère classe,  direct Paris-Vallorbe-Paris.
  • Transferts en minibus privé pendant les trois jours du séjour.
  • Deux  nuitées au Grand Hôtel des Bains 4* ou à l’Hôtel-Restaurant La Maison Blanche 2*.
  • Pour les hôtes du Grand Hôtel des Bains accès à la piscine thermale privée de l’hôtel et au Centre thermal.
  • Petit déjeuner buffet à l’hôtel
  • Dîners de vendredi et samedi (menu et boissons groupe).
  • Déjeuners de samedi et dimanche (menu et boissons groupe)
  • Visites guidées de l’église de Montcherand, des mosaïques romaines d’Orbe, de l’Abbatiale de Romainmôtier et de la ville d’Yverdon-les-Bains.
  • Opéra Carmen le samedi 29 août 2020 à Romainmôtier, dans le cadre du Festival du Nozon,  places première catégorie.
  • Cocktail après le spectacle

(*) Limité à 12 personnes. Réservations avant le 10 mars 2020.
Pour plus d’informations cliquez ici

Chèques ou virements à l’ordre du Cercle Saint Didier
5, rue de Sontay, 75116 Paris. Téléphone 06.14.55.61.51
Coordonnées bancaires Bénéficiaire : Cercle Saint Didier
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